
La victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine n’a pas
été du gout de plusieurs américains. Mais pour des anciens sportifs de
haut niveau comme Mike Tyson, c’est le candidat qu’il fallait soutenir
pour
inverser la tendance aux États-Unis. L’ex-boxeur dans la catégorie
poids lourd, se dit d’ailleurs très heureux de la victoire de Trump.
L’on se souvient qu’en Octobre 2015, cet ancien champion de boxe avait déjà fait savoir: « Il
devrait être président. Essayons quelque chose de nouveau, dirigeons
l’Amérique comme une entreprise où la couleur n’importe pas, où celui
qui peut faire le boulot fait le boulot.»

Il faut dire que Tyson et Donald Trump se côtoient depuis
pratiquement les années 80. Selon plusieurs sources, le milliardaire
organisait des combats de boxe pour le Kid Dynamite dans ses hôtels
d’Atlantic City. Et c’est dans ce cadre qu’ils se sont connus. De plus,
Donald Trump a été l’une des rares personnes à apporter son soutien à
Tyson en 1991, lorsqu’il avait été accusé de v*ol, et depuis lors,
l’ancien boxeur de 50 ans, s’est toujours montré très reconnaissant.
On peut dès lors comprendre pourquoi Mike Tyson a pénétré dans
l’arène de la politique américaine, pour apporter son soutien au
milliardaire Donald Trump dans la course aux primaires républicaines
lors de la récente présidentielle.
Tyson a d’ailleurs déclaré à la chaîne de streaming HuffPost Live
qu’il souhaiterait voir le magnat de l’immobilier succéder à Barack
Obama à la tête du pays. « Il devrait être président des Etats-Unis, c’est ce qu’il devrait être », lorsqu’on lui a demandé son opinion sur Donald Trump à la vielle de l’élection.

« Essayons quelque chose de nouveau. Essayons de gouverner les
Etats-Unis comme une entreprise, où la couleur de peau ne fasse aucune
différence », a-t-il ajouté.
Le soutien de Mike Tyson à Donald Trump s’explique également par le
fait que le milliardaire avait notamment hébergé en 1988 dans son
hôtel-casino Trump Plaza d’Atlantic City, à l’est du pays, le mythique
combat où Mike Tyson a mis KO Michael Spinks en 91 secondes. Donald
Trump a par ailleurs été conseiller financier du boxeur, selon le New
York Times.
afrikmag.com