
Comme
de coutume, le Consumer Lab de la société technologique suédoise
Ericsson a publié ses grandes tendances technologiques pour la prochaine
année. Michael Björn, le directeur de recherche au sein de cette
entité d’étude d’Ericsson, explique que le futur sera en grande partie virtuel, aussi bien dans la vie personnelle du consommateur que dans ses relations avec les autres et avec l’environnement direct. Les tendances de 2017 feront donc la part belle à :
entité d’étude d’Ericsson, explique que le futur sera en grande partie virtuel, aussi bien dans la vie personnelle du consommateur que dans ses relations avec les autres et avec l’environnement direct. Les tendances de 2017 feront donc la part belle à :
L’intelligence artificielle (IA)
Selon
l’étude d’Ericsson, 35% d’utilisateurs avancés d'Internet désirent une
intelligence artificielle comme conseiller au travail ; un utilisateur
avancé d’Internet sur quatre aimerait également une IA comme
gestionnaire. Mais la perte d’emploi que va susciter l’IA préoccupe la
moitié des utilisateurs avancés d’Internet.
L’Internet des Objets
En
2017, le marché des objets connectés va encore augmenter. Les
consommateurs utiliseront de plus en plus des applications automatisées,
encourageant l'adoption de l'Internet des objets (IoT). Deux
consommateurs sur cinq estiment que les smartphones vont apprendre leurs
habitudes et effectuer des activités en leur nom de facon autonome.
Les voitures autonomes
Avec
le développement de l’industrie automobile et des TIC, les conducteurs
de voiture pourraient ne plus exister à l'avenir. Un piéton sur quatre
estime qu’il serait plus sûr de traverser une rue si toutes les voitures
étaient autonomes, et 65% des piétons préfèrent avoir une voiture
autonome.
Limite entre virtuel et réalité
Près
de quatre utilisateurs sur cinq de la réalité virtuelle croient que la
VR ne se distinguera pas de la réalité d’ici trois ans. Deux
utilisateurs sur cinq sont déjà intéressés par des gants ou des
chaussures qui permettent d'interagir avec des objets virtuels.
Les silos sociaux
Aujourd'hui,
les consommateurs transforment volontairement leurs réseaux sociaux en
silos. Une personne sur trois déclare que les réseaux sociaux sont sa
principale source d'information. Et plus d'une sur quatre apprécient les
opinions de leurs contacts plus que les points de vue des politiciens.
La réalité personnelle augmentée
Plus
de la moitié des gens aimeraient utiliser des lunettes de réalité
augmentée pour éclairer les environnements sombres et mettre en évidence
les dangers. Une personne sur trois aimerait aussi filtrer les éléments
perturbateurs qui l’entourent.
Le paradoxe de la vie privée
Deux
utilisateurs avancés d’Internet sur cinq veulent utiliser uniquement
des services cryptés, mais les gens sont divisés. Près de la moitié
d'entre eux aimeraient disposer d'une protection de la vie privée
raisonnable pour tous les services, et plus d'un tiers pense que la vie
privée n'existe plus.
Les géants de la high-tech pour tous
Plus
de deux utilisateurs avancés d'Internet sur cinq voudraient obtenir
tous leurs produits des cinq plus grandes compagnies d'informatique.
Trois d'entre eux pensent que cela ne se fera que dans cinq ans.
Près
de quatre utilisateurs sur cinq de la réalité virtuelle croient que la
VR ne se distinguera pas de la réalité d’ici trois ans. Deux
utilisateurs sur cinq sont déjà intéressés par des gants ou des
chaussures qui permettent d'interagir avec des objets virtuels.
Le corps malmené
Comme
les voitures autonomes deviennent une réalité, le problème de maladie
des automobiles va augmenter. Il est prévu que trois voitures sur dix
aient besoin de nouveaux médicaments. Une voiture sur trois aura besoin
de pilules virtuelles pour une utilisation avec la technologie de
réalité virtuelle et augmentée.
Le paradoxe de la sécurité lié aux appareils intelligents
Plus
de la moitié des utilisateurs d’Internet utilisent déjà des alarmes
d'urgence, le suivi ou des notifications sur leurs smartphones. Parmi
ceux qui disent que leur smartphone leur permet de se sentir en
sécurité, trois sur cinq disent qu'ils prennent plus de risques parce
qu'ils comptent sur leur téléphone.
Agenceecofin